C'est l'histoire d'une bûche...

Publié le par A.Laure

On est le 24/12/14 au soir, petit réveillon entre nous. Une bûchette chacun pour le dessert, aux 3 chocolats, venant de la boulangerie la plus proche. A priori rien d'exceptionnel sauf qu'elle m'a valu une nuit blanche à cause de violentes douleurs.

Ca a commencé à dérailler gentiment juste avant d'aller me coucher, d'abord barbouillée pensant que j'avais trop mangé, puis mal à l'estomac. J'espérais que ça passerait mais c'est devenu pire. A 2h00 du matin, je ne pouvais pas fermer l'oeil, me tournant sans cesse à la recherche d'une position potable, la douleur formait un carquant tout autour de la taille. Je me prenais comme des coups de poignard dans le dos, une souffrance à frôler la folie tellement aucune position ne soulage... une torture que je connaissais bien... les mêmes symptômes qu'en 2012.

Impossible de tenir en place ni de me concentrer un minimum donc auto-traitement Reiki à bannir. Le calvaire durera plusieurs heures.

J'aurais pu croire à une rechute (cf article ici), si ce n'est l'arrière-goût de bûche qui ne passait décidément pas. Passé les 5h00 du matin, la douleur est enfin devenue à peu près supportable, j'ai pu retourner me coucher, fini les 100 pas dans la maisonnée, je peux au moins rester couchée pour me reposer un peu.... avant qu'on ne reçoive les invités pour le midi!

Ca ne s'est pas calmé au point de réussir à dormir, dommage. J'en ai donc profité pour tenter de rentrer en contact avec mes guides ou je ne sais qui là-haut afin d'avoir une explication. J'ai demandé la cause et là, j'ai parfaitement capté, comme si l'on me le disait clairement à l'oreille, avec un ton de reproches: "gélatine de porc".

Effectivement, après une petite recherche, il s'avère que certaines bûches de noël sont faites avec des feuilles de gélatine parfois d'origine porcine.

Moi qui suis devenue végétarienne depuis 2 ans, je comprends qu'on m'ait donné une grosse claque dans la gu****. Je n'ai jamais trop fait attention aux compositions exactes car tout ce qui pouvait être à risque ne faisait pas partie de mon alimentation, mais là, je me suis faite avoir en beauté! Pour le coup, j'ai vraiment bien morflé... (désolée pour le vocabulaire)

A moi d'ouvrir l'oeil désormais. Qui sait si les douleurs en 2012 n'étaient finalement pas une coïncidence. Peut-être était-ce l'amorce de ce changement alimentaire, en tout cas, il a eu lieu. Ca me vaudra d'en parler avec mon étiopathe le jour où je le reverrai.

C'est l'histoire d'une bûche...
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